mardi 30 septembre 2008

L'enfer

L’enfer ? L’enfer est terrible. « On revient de l’enfer, content d’être saint et sauf. » L’enfer peut ‘été une situation atroce ou on a qu’une envie : Sortir de là-bas. L’enfer – l’horreur évidente. L’enfer est souvent la punition avec des souffrances atroces après une vie de pécheur.

Mais il y a aussi l’enfer un peu plus subtil : L’enfer caché.

L’histoire parle de Mitsy, le petit diable. Le nom j’ai emprunté à mon chat siamois : Il est ange et démon en même temps.

Mitsy le diable

Le monde a changé ; il est devenu pl us moderne. Le progrès est IMG_0065 partout. Même dans l’enfer on ne peut l’arrêter.

Avant, par exemple, les diables portaient leurs costumes rouges ridicules et se promenaient avec leurs fourches à 3 piques.

Ceci a bien évolué depuis : Les diables cachent leur queues de diable dans des pantalons modernes comme les jeans et plus d’un essaie de dissimuler ses cornes sous un chapeau, en goûtant un petit verre de ce nouvel eau de vie, l’eau de vie de dent de lion….

A l’époque les méthodes de punition pour les pauvres pécheurs étaient appliquées de façon standardisée : On jetait les gens dans les souterrains, avec la chaleur, les flammes, les bruits et gueulades et les odeurs d’huile pourrie- la routine quoi.

La direction de l’enfer voulait donc moderniser le système de punitions et a mis un concours à l’enquête pour trouver de méthode plus originale, plus moderne.

Il y avait passablement de jeunes diables qui voulaient participer à ce concours et les prix étaient très attractifs. Parmi eux le jeune espoir du milieu de l’enfer, le diable Mitsy, a présenté son projet :

Maria du Portugal et Hans de l’Emmental étaient décédés le même jour, c’était le 6 Mars. Les deux ont  commis quelques pêchés pendant leur vie sur terre et ils se sont retrouvés condamnés à passer quelque temps en enfer. Et le diable Mitsy a décidé de mettre Maria et Hans ensemble. Et on avait convenu que Maria s’occupait de la cuisine.

Maria, pourtant portugaise, n’aimait pas du tout le poisson et les fruits de mer, mais elle se forçait de préparer la morue pour Hans, parce qu’elle Dsc000351voulait lui faire plaisir et exprimer son respect envers lui. Et elle préparait la morue, matin, midi et soir, cuite à l’eau, frites, chauffée au four…..

Hans de son côté adore les plats bernois mais déteste les poissons, dont spécialement la morue. Mais Hans voulait faire plaisir à Maria et montrer son respect envers elle et il assurait qu’il aimait énormément la morue.

Et comme ça, Maria et Hans passaient leur temps à manger la morue et chacun pensait de faire plaisir à l’autre et ils ne se rendaient même pas compte qu’ils se trouvaient dans l’enfer.

Et le projet du diable Mitsy a gagné le concours et les membres du jury de l’enfer ont accepté cette nouvelle façon de punition avec beaucoup d’enthousiasme…

Die Hölle (Übersetzt von Martin Meier)

Die Hölle? Die Hölle ist schrecklich. "Aus der Hölle kommt man zurück, glücklich, heil und gesund zu sein." Die Hölle kann eine furchtbare Situation sein, in der man nur den einen Wunsch hat, so schnell als möglich da wieder 'raus zu kommen! Die Hölle – offensichtlich ein Schrecken. Die Hölle ist oft eine Strafe mit grässlichen Qualen nach einem Leben in der Sünde.

Aber es gibt auch eine etwas subtilere Hölle: Die verborgene Hölle.

Die folgende Geschichte handelt von Mitsy, dem kleinen Teufel. Den Namen habe ich von meiner Siamkatze geliehen: Sie ist Engel und Teufel in einem!

Mitsy, der Teufel

Die Welt hat sich verändert; sie ist moderner geworden. Der Fortschritt hat sich überall breit gemacht. Selbst in der Hölle kann man ihn nicht aufhalten.

Früher zum Beispiel trugen die Teufel ihr lächerliches rotes Gewand und ihre dreizinkige Gabel.

Das hat sich seither verändert: Die Teufel verstecken ihre Teufelsschwänze unter modernen Hosen, z.B. unter Jeans, und mehr als einer versucht, seine Hörner unter einem Hut zu verbergen, und nippt dabei an einem Glas von diesem neuen Lebenswasser, dem Löwenzahnlebenswasser.

Früher wandte man bei den armen Sündern standartisierte Bestrafungsmethoden an: Man warf die Leute in unterirdische Verliesse, wo eine infernalische Hitze herrschte, wo es überall Flammen gab, wo fürchterliches Geschrei ertönte und es nach verdorbenem Öl roch – das gehörte einfach dazu.

Die Direktion der Hölle wollte aber das Bestrafungssystem modernisieren und veranstaltete dazu einen Ideenwettbewerb, um die originellste und modernste Methode zu finden.

Es gab da einige junge Teufel, die beim Wettbewerb mitmachen wollten, waren doch die ausgesetzten Preise sehr attraktiv. Unter ihnen war auch der Teufel Mitsy, die junge Hoffnung aus Mittelhölle. Er stellte folgendes Projekt vor:

Maria aus Portugal und Hans aus dem Emmental waren am gleichen Tag verstorben, nämlich am 6. März. Beide hatten einige Sünden begangen während ihres irdischen Lebens und wurden dazu verurteilt, einige Zeit in der Hölle zu verbringen. Da beschloss der Teufel Mitsy, Maria und Hans zusammenzubringen. Und man war übereingekommen, Maria die Küche zu überlassen.

Maria, obwohl Portugiesin, mochte Fisch und Meerfrüchte nicht, aber sie zwang sich dazu, für Hans eine Muräne zu präparieren, weil sie ihm eine Freude machen und ihm ihren Respekt zeigen wollte. Und sie kochte Muräne, am Morgen, am Mittag, am Abend, gedünstet, fritiert, gebacken .....

Hans seinerseits mochte Bernerplatte und verabscheute Fisch, erst recht Muräne. Aber Hans wollte Maria gefallen und ihr seinen Respekt zeigen, und so versicherte er ihr immer, wie gern er Muräne habe.

Und so verbrachten Maria und Hans die Zeit damit, Muräne zu essen, und jedes dachte dabei, dem andern eine Freude zu machen, und sie merkten gar nicht mehr, dass sie in der Hölle waren.

So gewann das Projekt des Teufels Mitsy den Wettbewerb. Die Mitglieder der Jury übernahmen diese neue Bestrafungsmethode mit grossem Enthusiasmus ...

lundi 29 septembre 2008

Les déménagements

J’ai souvent dû déménager d’un cabinet à l’autre (un jour je vais parler des raisons innombrables de mes changements d’adresse.). Et chaque fois il faut s’installer de nouveau. Chaque fois on recommence à zéro. Les clients ne vous suivent pas obligatoirement. Il fIMG_0135 aut retrouver une clientèle. Et il y a des petites histoires qui se passent. A chaque déménagement. J’ai l’espoir que je peux rester maintenant. A Boissonnet 1. A Lausanne.

 

Le téléphone

Une fois de plus j’étais en train d’aménager dans un nouveau cabinet et je me suis posé la question : Faut-il avoir un téléphone fixe, oui ou non ?

Il me semblait que c’était indispensable pour un thérapeute sérieux de disposer de son propre numéro fixe. Malheu reusement dans mon nouveau local il n'y avait pas d’installation préinstallé. Swisscom m’pavait envoyé un contrat et c’était bien marqué : L’installation du raccordement doit être effectué par un électricien reconnu et homologué.

Je traîne un peu la réputation derrière moi, d’avoir des contacts un peu douteux dans mon milieu social. Mais maintenant je suis devenu un thérapeute sérieux et intègre et je me suis adressé à mon bailleur pour obtenir une adresse d’une entreprise d’électricité sérieuse. Et oh miracle : On m’a donné l’adresse de l’entreprise qui avait fait toutes les installations dans ce bâtiment. Magnifique. Une solution tout à fait honnête et raisonnable (peut-être un peu chère) semblait se montrer à l’horizon.

Mais ce n’était pas si simple : Au téléphone on me communiquait que l’entreprise sérieuse n’existait plu s – faillite.

Ensuite j’ai parlé à mon très bon ami Turc, Ali (j’avais déjà travaillé avec lui pendant mon époque de restaurateur). Il m’avait aidé pour le déménagement, pour repeindre les parois etc. Au sujet du téléphone il disait : « Aucun problème. Je connais un copain Turc qui fait tout qui est lié à l’électricité et à l’installation de téléphone. C’est un vrai maître, il connaît tout et il fait tout. Pas cher et sans facture ! »

« Mais est-ce qu’il a un certificat de capacité ? » « Quel certificat ? On n’a pas besoin de certificat pour être un maître. »

Je pressentais le pire – mais j’acceptais la proposition d’Ali.

Le lendemain l’électricien Turc, Talip, arrivait. Et il commençait à travailler. Très dur. D’abord il cherchait le relais dans le bâtiment et il le trouvait. Le relais était implanté dans le mur principal, à l’extérieur de la maison. J’étais un peu étonné quand pnl2il creusait un trou à travers le mur principal pour tirer le câble. Un dernier trou à travers le mur de mon bureau et l’installation était prêt. Et le travail était fait avec beaucoup d’élégance. Et puis nous avons essayé le téléphone – et –ça marchait. Une jolie tonalité. Enfin. J’étais heureux. Il était jeudi soir.

Le lendemain matin j’arrivais au bureau, de bonne humeur, et je voulais tout de suite tester mon nouveau téléphone. Rien. Silence. Aucune tonalité. Avec mon portable je téléphonais aux dérangements. Swisscom s’en occuperait. Puis j’appelais Talip. Il passait et se rendait compte qu’aucun téléphone dans le bâtiment ne marchait. Hier nous avons installé mon téléphone à l’aide d’un ouvrier non qualifié et aujourd’hui aucun raccordement dans le bâtiment ne fonctionne. Ce ne peut pas être du hasard.

Mon dieu ! Devant mon œil intérieur je voyais déjà : Le monteur de Swisscom, scandalisé par l’installation, en demandant menaçant : »Qui a fait ce travail ? Un monteur qualifié ? ». Et les habitants du bâtiment, fâchés, sans téléphone. Et le propriétaire et bailleur, fronçant les sourcils.

Et mes pires craintes semblent se réaliser : A 11 heures je recevais un SMS de Swisscom : »Chez nous tout est ok. Probablement nous devons examiner les installations sur place. Si jamais on va vous envoyer un monteur ! »

D’un côté j’avais froid au dos, de l’autre je transpirais comme un cycliste pendant une étape de montagne au tour de France. La fréquence de mon pouls atteignait de nouveau records.

Encore une fois je me suis lancé dans une histoire douteuse. Pourquoi ? Pourquoi ? Un électricien homologué ? Mon œil ! Quel scandale va éclater !

Puis il était 14h30. Mon portable se mettait à sonner. Un appel de Swisscom : »Nous regrettons infiniment. Nous avons oublié de vous avertir : Il y a des travaux d’entretiens dans votre quartier. Toute la journée les raccordements sont arrêtés. A cause d’une erreur interne on ne pouvait pas vous avertir…. »

Tout le monde peut me joindre à mon numéro fixe. Mon téléphone marche magnifiquement bien – parfaitement installé par Talip.

Vom Zügeln (Übersetzt von Martin Meier)

Ich musste oft zügeln (umziehen); eines Tages werde ich von den unzähligen Gründen sprechen, warum ich dauernd meine Adresse änderte. Jedesmal musste ich mich den neuen Gegebenheiten anpassen. Jedesmal musste ich wieder bei Null anfangen. Und die Kunden laufen dir dabei nicht unbedingt nach. Also heisst es auch, jedesmal wieder neue Kundschaft zu finden. Dabei ereignen sich immer wieder kleine Begebenheiten. Bei jedem Umzug! Ich hoffe, dass ich nun bleiben kann, wo ich bin. In Boissonnet 1, in Lausanne.

Das Telefon

Einmal mehr war ich im Begriff, meine sieben Sachen an einen neuen Wohnort zu transportieren. Dabei stellte sich die Frage: Brauche ich einen Festnetzanschluss oder nicht?

Mir schien, es sei für einen seriösen Therapeuten unabdingbar notwendig, eine eigene Festnetznummer zu haben. Zu meinem Pech gab es am neuen Ort in der ganzen Wohnung keinen dafür vorgesehenen Anschluss. Die "Swisscom" schickte mir auf Anfrage einen Vertrag, worin fett unterstrichen stand, die Installation eines entsprechenden Anschlusses habe durch einen diplomierten Elektriker zu erfolgen.

Nun habe ich mir im Verlauf der Zeit den Ruf erworben, Verträge nicht allzu wörtlich zu nehmen. Aber jetzt war ich ja ein seriöser und integrer Therapeut geworden, und so wandte ich mich an meinen Vermieter mit der Bitte, ob er mir die Adresse eines seriösen Elektriker- unternehmens vermitteln könne. Und o Wunder: Man gab mir die Adresse jenes Unternehmens, das alle Installationen in diesem Gebäude getätigt hatte. Toll! Eine ohne Zweifel ehrenhafte und vernünftige, wenn auch etwas teure Lösung schien sich am Horizont abzuzeichnen.

Leider hatte die Sache einen Haken: Am Telefon teilte man mir nämlich mit, dass das seriöse Unternehmen nicht mehr existierte – es war Pleite gegangen!

Was tun? Schliesslich besprach ich das Problem mit meinem guten Freund Ali, einem Türken. Mit ihm hatte ich schon früher zusammengearbeitet, damals, als ich noch im Gastgewerbe tätig war. Er hatte mir beim Umzug geholfen, er hatte für mich Wände tapeziert, usw. Was den Telefonanschluss anging, meinte er nur: "Kein Problem! Ich hab da 'nen türkischen Kumpel, der macht alles, was mit Elektro- und Telefoninstallationen zusammenhängt. Der Kerl ist ein wahrer Meister, er weiss alles und macht alles. Ausserdem ist er nicht teuer und arbeitet ohne Rechnung!"

"Aber hat er ein Diplom?" – "Ach was Diplom! Man braucht doch kein Diplom, um ein Meister zu sein!"

Ich machte mich auf das Schlimmste gefasst, aber ich nahm Alis Vorschlag an.

Schon am nächste Tag tauchte der türkische Elektriker namens Talip auf und machte sich sogleich an die Arbeit. Sie war äusserst hart. Zunächst suchte er die Relaisstation im Haus und fand sie auch. Das Relais befand sich in der Hauptmauer, auf der Aussenseite des Hauses. Es machte mich ein wenig stutzig, als ich sah, dass er ein Loch durch die Hauptmauer bohrte, um ein Kabel einzuziehen. Ein letztes Loch noch durch die Mauer meines Büros, und die Installation war fertig. Und die Arbeit war mit viel Eleganz erledigt worden. Dann probierten wir die Telefonverbindung aus – der Anschluss klappte! Das Klingeln war Musik in meinen Ohren. Endlich! Ich war glücklich. Es war Donnerstag Abend.

Am nächste Morgen kam ich gut gelaunt ins Büro und wollte sogleich meinen neuen Telefonanschluss testen. Nichts tat sich. Völlige Stille. Kein Klingeln. Mit meinem Handy rief ich den Störungsdienst an. "Swisscom" würde sich darum kümmern, hiess es. Dann rief ich bei Talip an. Er kam vorbei und stellte fest, dass im ganzen Haus kein Telefon funktionierte. Gestern hatten wir mein Telefon mit Hilfe eines nicht-qualifizierten Arbeiters eingerichtet, und heute ging kein Telefonanschluss im Haus mehr. Das konnte kein Zufall sein!

Mein Gott! Vor meinem inneren Auge spielten sich grässliche Szenen ab: Der Monteur der "Swisscom", der sich über die unfachmännische Installation ärgerte, fragte mit drohender Stimme: "Wer hat das gemacht? Etwa ein qualifizierter Elektromonteur?" Und meine Mitbewohner, verärgert, ohne Telefon. Und der Besitzer und Vermieter, der bedenklich die Stirne runzelte.

Meine schlimmsten Befürchtungen schienen Tatsache zu werden: Um 11 Uhr schickte mir die "Swisscom" ein SMS: "Bei uns ist alles in Ordnung. Vermutlich müssen wir die Installationen vor Ort überprüfen. Wir schicken Ihnen einen Monteur vorbei."

Es lief mir kalt den Rücken herunter, doch gleichzeitig schwitzte ich wie ein Radfahrer bei einer Bergetappe der Tour de France. Mein Puls raste mit rekordverdächtiger Geschwindigkeit.

Wieder einmal hatte ich mich auf ein zweifelhaftes Abenteuer eingelassen. Warum nur, warum??? Ein diplomierter Elektriker? Meine Güte, was für ein Skandal braute sich da zusammen!

Dann wurde es halb drei. Mein Handy klingelte. Ein Anruf der "Swisscom": "Es tut uns schrecklich Leid. Wir haben vergessen, Sie zu benachrichtigen: In Ihrem Quartier sind zur Zeit Unterhaltsarbeiten im Gang. Deshalb sind heute den ganzen Tag alle Verbindungen stillgelegt. Wegen eines Fehlers unsererseits konnte man Sie nicht benachrichtigen ..."

Jedermann kann mich auf meinem Festnetzanschluss erreichen. Mein Telefon funktioniert prima – es wurde ja auch prima eingerichtet ... von Talip, dem Meister ohne Diplom!

mercredi 17 septembre 2008

Peur de l' eau

Je travaille beaucoup avec les analogies en racontant des histoires, des métaphores. C' est presque un sport. J' ai la tendance de ne parler qu' avec les métaphores, qu' avec des images et histoires. De temps en temps ça arrive que j' énerve les gens autour de moi "avec mes histoires"..

Dans la thérapie, l' usage métaphorique présente plusieurs avantages :    La métaphore est suggestive, elle s' adresse à l' inconscient du sujet en déjouant les mécanismes de défense qui se seraient déclenchés avec un message direct. 
La solution est masquée : elle laisse la possibilité au subconscient d' adopter ou non ce qui lui est proposé.  La métaphore peut prendre la forme d' une image, d' une histoire, d' un proverbe, d' une anecdote, d' une citation, d' un mythe, d' un conte... 

Une métaphore est isomorphique, c' est-à-dire reproduire personnes, événements,  processus ou problématique de manière équivalente aux critères de la situation réelle.  Voici une histoire ire que j' avais écrit pour une fille qui avait faillit de se noyer pendant ses vacances et depuis elle avait toujours peur de l' eau:

Le petit éléphant

Il était une fois un petit éléphant tout jeune. Il habitait avec sa maman et ses tantes dans la savane africaine. Le petit éléphant adorait jouer toute la journée avec les autres petits éléphants, ils jouaient cache-cache entre eux dans la forêt, ils couraient derrières les zèbres et les antilopes, s' amusaient en les voyant prendre la fuite en paniquant. Et on pouvait entendre les bruits de joie des petits éléphants dans la savane. La maman du petit éléphant était très douce avec lui, le caressait avec sa trompe, le laissait boire de son lait quand il voulait. Il adorait prendre des bains de boue avec les autres membres du troupeau. Qu' est-ce qu' il se marrait avec les autres jeunes éléphants….

Un matin, tout était calme et tranquille et la terre respirait, notre petit éléphant voyait de loin des petits arbres dans la savane. Ils avaient plein de feuilles vertes, croquantes. Toute la famille de l'éléphant était encore en train de somnoler – comme il était très tôt le matin - et notre petit décidait d' explorer tout seul l' endroit de ces plantes appétissantes. Il se mettait en route - tout seul, courageux et une voix intérieure semble le pousser : « Tu es grand et fort maintenant, vas-y ! » Il était tout excité, c' était donc la première fois dans sa jeune vie qu' il s' éloignait si loin de sa famille. Il s' approchait des plantes, il pouvait déjà les voir tout distinctement et sentir l' odeur appétissante des feuilles vertes.

Toujours en s' approchant  il entendait soudain un bruit étrange, menaçant, un bruit qui venait de tous les côtés. C' était comme un genre de ricanement. Et ce bruit s' approchait - vite. Et soudain notre petit éléphant se trouvait entouré d' une horde d' animaux moches et méchants qui dégageaient l'odeur dégoûtant de viande pourrie. Le petit éléphant n' avait jamais vu de tels animaux avec des yeux aussi méchants et des dents aussi longs. C' était des hyènes! Elles s' approchaient de plus en plus en grognant très menaçant. Le petit éléphant voulait s' enfuir mais il ne pouvait plus. Il se retrouvait enfermé par la horde d' hyènes. Il transpirait, il voulait appeler sa maman, mais il avait une telle peur qu' il ne pouvait pas sortir un son de sa trompe. Il sentait déjà les mauvaises haleines des premières hyènes. "Je suis perdu, je dois mourir", se disait-il. Ay! Il sentait une douleur affreuse quand les premières mâchoires se fonçaient dans son corps. En perdant connaissance le petit éléphant avait juste le temps de dire au revoir à sa maman et sa famille.

Un peu plus loin la maman éléphant s' était réveillée et elle s' inquiétait beaucoup parce que son petit n' était pas là. Elle alertait les autres. Plus loin dans la savane elles apercevaient un nuage de poussière. Inquiet le troupeau d' éléphants s' approchait de ce nuage et voyait la horde d' hyènes - autour du petit éléphant, couché, plein de sang. Avec une colère incroyable le troupeau chargeait, en trompetant, les hyènes. Celles-ci s' enfuyaient dans toutes les directions. Le petit éléphant était blessé, mais vivant. Et heureusement il se remettait vite de ses blessures.

Puis il grandissait et devenait un grand mâle majestueux avec d' énormes défenses. Comme c' est la coutume chez les éléphants, les mâles mènent une vie solitaire. Notre éléphant vivait bien sa vie, il était habitué à être seul. De temps en temps il rencontre un de ses copains avec qui il passe un peu de temps en bavardant.

Tout allait bien sauf une chose: Notre éléphant avait une peur terrible et inexplicables des hyènes. Il suffisait que dans les alentours d' un point d' eau se trouve une minuscule, petite hyène, il était prit de panique et n' osait même pas s' approcher pour boire. Ou s' il y avait des ricanements d' hyènes dans un petit bois plein de verdure succulente, notre éléphant refusait d' y aller - trop grande était la peur des hyènes. La présence d'hyènes assez nombreuses un peu partout dans la savane gênait considérablement la vie de notre éléphant.

Un jour, par hasard, il croisait le chemin avec le vieux, sage éléphant, qui avait vécu déjà depuis plus que 50 ans dans cette région et qui étaitmale-elephant-afrique en même temps son père.

"Viens, nous allons boire et prendre un bain là dans ce petit point d'  eau", disait son papa. Mais pas loin du point d'eau il y avait un jeune couple d' hyène. "Non, je n' ai pas envie" répondait notre éléphant avec une voix tremblante . Le vieil éléphant n' était pas sage pour rien. "Qu' est-ce qui te fait peur?" "Les hyènes!" répondait notre éléphant et il racontait toute l' histoire de sa jeunesse. "Écoute, à l' époque tu étais petit et vulnérable et c'était normal que tu te méfiait des hyènes - mais maintenant tu es devenu si grand et si fort que tu peux affronter les hyènes sans problèmes. Viens, nous allons ensemble, tu verras, les hyènes vont partir en sursaut quand ils nous apercevront!" Avec une geste paternelle de sa longue trompe il poussait gentiment notre éléphant. Quoiqu' il était presque mort de peur il n' osait pas contredire le sage et commençait à s' approcher du point d'eau ou il y a des hyènes….

 

Wasserscheu (Übersetzt von Martin Meier)

Ich arbeite häufig mit Analogien und erzähle dabei Geschichten, Gleichnisse sozusagen. Das ist für mich fast wie ein Sport. Ich neige dazu, fast nur in Gleichnissen zu sprechen, in Bildern und Geschichten. Ab und zu nerve ich geradezu die Menschen in meiner Umgebung "mit meinen Geschichten ..."

In der Therapie hat die Verwendung von Gleichnissen mehrere Vorteile: Das Gleichnis dringt ein, es wendet sich an das Unterbewusstsein des Menschen, indem es Verteidigungs-mechanismen, die mit einer direkten Botschaft ausgelöst würden, gar nicht erst aufkommen lässt. Die Lösung ist verdeckt: Sie lässt dem Unterbewusstsein die Möglichkeit, das, was ihm vorgeschlagen wird, zu übernehmen oder auch nicht. Das Gleichnis kann die Gestalt eines Bildes annehmen, einer Geschichte, eines Sprichworts, einer Anekdote, eines Zitats, einer Sage, eines Märchens ...

Ein Gleichnis ist ein Abbild der Realität, das heisst es bildet Personen, Ereignisse, Entwicklungen oder Problemstellungen 1:1 zur realen Situation ab. Hier nun das Beispiel einer solchen Geschichte. Ich habe sie für ein Mädchen geschrieben, das in den Ferien fast ertrunken wäre und seither eine panische Angst vor dem Wasser hatte.

Der kleine Elefant

Es war einmal ein kleiner, noch ganz junger Elefant. Er lebte mit seiner Mutter und seinen Tanten in der afrikanischen Savanne. Der kleine Elefant spielte am liebsten den ganzen Tag lang mit den andern kleinen Elefanten. Sie spielten Verstecken im Wald, sie rannten hinter den Zebras und den Antilopen her und hatten ihr Vergnügen dabei, zu beobachten, wie diese in Panik vor ihnen die Flucht ergriffen. Dann konnte man die Freudenschreie der kleinen Elefanten in der Savanne hören. Die Mutter des kleinen Elefanten war sehr zärtlich zu ihm, sie streichelte ihn mit ihrem Rüssel und liess ihn von ihrer Milch trinken, so oft er dazu Lust hatte. Er nahm auch sehr gerne Staubbäder mit den andern Mitgliedern der Herde. Dabei konnte er sich mit den andern jungen Elefanten biegen vor Lachen ...

Eines Morgens – alles war ruhig und still und die Erde dampfte – sah unser kleiner Elefant in der Ferne ein paar kleine Bäume in der Savanne. Sie waren voller grüner, saftiger Blätter. Da die ganze Elefantenfamilie noch am Dösen war – es war ja noch sehr früh am Morgen -, beschloss unser Kleiner, den Ort mit diesen verheissungsvollen Pflanzen allein auszukundschaften. Er machte sich also auf den Weg – ganz allein, mutig, und eine innere Stimme schien ihm zu sagen: "Du bist nun gross und stark, also los!" Er war ganz aufgeregt, war es doch das erste Mal in seinem jungen Leben, dass er sich so weit von seiner Familie entfernte. Er näherte sich den Pflanzen, er konnte sie schon sehr genau sehen und den appetitanregenden Duft ihrer grünen Blätter riechen.

Während er sich also immer noch den Bäumen näherte, hörte er auf einmal ein seltsames, bedrohliches Geräusch, das von allen Seiten zugleich zu kommen schien. Es hörte sich an wie ein Grinsen. Und dieses Geräusch kam näher, und zwar schnell. Und plötzlich sah sich unser kleiner Elefant umzingelt von einer Horde wilder und bösartiger Tiere, die einen widerlichen Geruch nach verdorbenem Fleisch verströmten. Der kleine Elefant hatte noch nie solche Tiere gesehen, Tiere mit Augen, die böse funkelten, und Zähnen, die gross und gefährlich blitzten. Das mussten Hyänen sein! Immer näher kamen sie und knurrten dabei sehr bedrohlich. Der kleine Elefant wollte fliehen, konnte aber nicht mehr. Die Hyänenhorde hatte ihn vollständig eingekreist. Er schwitzte, er wollte seine Mutter zu Hilfe rufen, aber hatte so Angst, dass er keinen Ton aus seinem Rüssel hervorbrachte. Schon spürte er den stinkenden Atem der ersten Hyänen. "Ich bin verloren, ich muss sterben!", sagte er sich. Wehe! Er spürte einen fürchterlichen Schmerz, als sich die ersten Reisszähne in seinen Körper bohrten. Kurz bevor er das Bewusstsein verlor, konnte er noch in Gedanken von seiner Mutter und seiner Familie Abschied nehmen.

Etwas weiter weg war unterdessen die Elefantenmutter erwacht und war beunruhigt, weil ihr Kleiner nicht da war. Sie allarmierte die andern. Etwas entfernt in der Savanne gewahrten sie eine Staubwolke. Beunruhigt darüber setzte sich die Herde in Richtung Staubwolke in Marsch und sah die Hyänenhorde rings um den kleinen Elefanten, der am Boden lag und aus vielen Wunden blutete. In wilder Wut und unter wütendem Trompeten griff die Herde die Hyänen an. Diese flohen in alle Richtungen. Der kleine Elefant war verletzt, aber er lebte. Und zum Glück erholte er sich schnell von seinen Verwundungen.

Er wuchs heran und wurde ein grosser, majestätischer männlicher Elefant mit mächtigen Stosszähnen. Wie es bei den Elefanten üblich ist, führen die Männchen ein Leben als Einzelgänger. Unser Elefant lebte zufrieden in den Tag hinein, er war es sich gewohnt, allein zu sein. Ab und zu begegnete er einem seiner früheren Spielkameraden und schwatzte ein wenig mit ihm.

Alles war gut bis auf eine Sache: Unser Elefant hatte eine schreckliche und unerklärliche Angst vor Hyänen. Es genügte schon, wenn sich in der Umgebung eines Wasserlochs eine kleine, nichtige Hyäne zeigte. Dann wurde er von Panik ergriffen und wagte nicht, zum Trinken ans Wasserloch zu gehen. Sobald er das Grinsen von Hyänen in einem kleinen Wäldchen voller saftiger Kakteen vernahm, weigerte sich unser Elefant, dorthin zu gehen – seine Angst vor Hyänen war zu gross. Da es überall in der Savanne recht viele Hyänen gab, wurde das Leben unseres Elefanten empfindlich gestört.

Eines Tages lief er zufällig dem alten, weisen Elefanten über den Weg, der schon über 50 Jahre lang in der Gegend lebte und ausserdem auch sein Vater war.

"Komm, wir gehen trinken und nehmen ein Bad da unten in dem kleinen Wasserloch", sagte sein Vater. Aber nicht weit vom Wasserloch entfernt tummelte sich ein junges Hyänenpaar. "Nein, ich habe keine Lust", antwortete unser Elefant, und seine Stimme zitterte dabei. Der alte Elefant war weise genug, um nicht zu lachen. "Was macht dir denn Angst?", fragte er nur. "Die Hyänen!", antwortete unser Elefant und erzählte sein Jugenderlebnis. "Nun hör mal: Damals warst du jung und verwundbar, und es war nur normal, dass du dich vor den Hyänen fürchtetest. Aber jetzt bist du so gross und so stark, dass du einer Begegnung mit ihnen gelassen entgegensehen kannst. Komm, wir gehen zusammen, und ich wette, die Hyänen nehmen Reissaus, wenn sie uns kommen sehen!" Mit einer väterlichen Bewegung seines langen Rüssels schubste er vorsichtig unseren Elefanten vorwärts. Obwohl er fast starb vor Angst, wagte er doch nicht, dem weisen Elefanten zu widersprechen und näherte sich dem Wasserloch, wo es Hyänen hatte ...

lundi 15 septembre 2008

Indications sur moi avec une histoire

Je viens du canton de Berne, je suis marié à une Portugaise, j' avais très longtemps travaillé avec un associé Turc en faisant des Kebabs pendant de longues années au "Las Vegas" au grand Pont à Lausanne. J' ai un chat Siamois qui s' appelle Mitsy mais que j' appelle de temps en temps "le diable".

Aujourd'hui je fais de séances d' hypnose et pnl en Français (c' est mon coté masochiste), Allemand et de temps en temps en Anglais - je travaille comme thérapeute indépendant à Boissonnet à Lausanne. Avant que j' oublie: Veuillez excuser mon style d' écrire. Il n' est de loin pas parfait et influencé par l' Allemand.

J' adore les petites histoires et les métaphores et j'en utilise dès que je peux. Voici une histoire, qui est en même temps un peu autobiographique; je suis originaire du Seeland, le pays entre les trois lacs. J' ai écrit et raconté cette histoire pendant une soirée PNL avec mon ami Ken; le sujet de la soirée était "les métaphores"

La terre noire

C'était dans le pays ou la terre est très noire. C'était aussi la région ou les brouillards pouvaient être très épais, très mystérieux. Et parfois on peut entendre des bruits et on ne sait pas d'où ils viennent….

Ou il y a cette odeur, ce mélange d'odeur entre la terre et l'humidité….

C'est la terre très fertile, ou tous les légumes, tous les fruits poussent à l'abandon…

La terre, où il y a beaucoup d'animaux sauvages. Mais aussi les moustiques avec leur chant particulier…..

C'est là ou habitait un petit garçon, avec ses sœurs et frères, ses parents, dans une petite maison ou pendant la nuit le hibou venaient se reposer sur le balcon …. Et de temps en temps il réveillait les habitants avec ses cris…

Devant la maison il y avait un morceau de terre vide. Et le petit garçon a eu l'idée de peler avec une pelle pour construire une grotte.

Et il a pelé, travaillé, transpiré – du matin au soir. Et on pouvait déjà voir un trou assez respectable dans la terre. Et le lendemain il pleuvait, il pleuvait. Et dans ces conditions le peti8t garçon ne pouvait pas penser à continuer à peler. Et il pleuvait et dans la région de la terre noire s'il pleut il pleut comme il faut et toute la terre respire, presqu'o9n peut entendre pousser les plantes.

Et un matin le soleil était revenu, réchauffait la terre.

Donc le petit garçon est allé regarder son trou. Mais ce n'était plus son trou – c'est devenu un trou rempli d'eau, un petit lac, un étang. Et l'eau restait…..

Et le petit garçon devenait très triste. Le rêve de la grotte s'était envolé. Et le lendemain le petit garçon voyait de loin que le trou était toujours plein d'eau. Mais quelque chose avait changé..On dirait que quelque chose bougeait…

Et en effet : il y avait 2 grenouilles vertes qui était dans l'eau. Incroyable ! Et le petit garçon était tellement heureux…2 vrais grenouilles dans un vrai étang…

C'était dans la région de la terre noire…





Angaben über mich selbst anhand einer Geschichte (Übersetzt von Martin Meier)

Ich stamme aus dem Kanton Bern, bin mit einer Portugiesin verheiratet, ich habe Jahre lang mit einem türkischen Mitarbeiter im "Las Vegas" bei der grossen Brücke in Lausanne Kebabs gemacht und verkauft. Ich habe eine Siamkatze mit Namen Mitsy, aber manchmal sage ich ihr auch "Teufel".

Heute biete ich Hypnose und NLP-Sitzungen auf Französisch (das ist meine masochistische Seite), Deutsch und gelegentlich auf Englisch an – ich arbeite als selbständiger Therapeut in Boissonnet bei Lausanne. Bevor ich es vergesse: Bitte entschuldigen Sie meinen Schreibstil. Er ist alles andere als perfekt und durch meine deutsche Muttersprache beeinflusst.

Ich liebe kleine Geschichten und Gleichnisse und verwende sie, sooft ich kann. Hier nun eine Geschichte, die auch ein wenig autobiographisch ist; ursprünglich komme ich aus dem Seeland, die Gegend zwischen den drei Seen. Ich habe diese Geschichte während eines NLP-Abends mit meinem Freund Ken geschrieben und erzählt; das Thema des Abends lautete nämlich Gleichnisse

Die schwarze Erde

Es geschah in jenem Land, wo die Erde ganz schwarz ist. In jener Gegend kann der Nebel auch ganz dicht sein, ganz geheimnisvoll. Und manchmal hört man dort Geräusche, ohne zu ahnen, woher sie kommen....

Dort spürst du auch jenen merkwürdigen Geruch, diese Geruchsmischung aus Erde und Feuchtigkeit ...

Die Erde ist dort sehr fruchtbar, Gemüse und Früchte wachsen in Hülle und Fülle ...

Auch wilde Tiere kommen dort noch sehr zahlreich vor, aber auch die Mücken mit ihrem besonderen Gesang ...

In jener Gegend also lebte ein kleiner Junge mit seinen Geschwistern und seinen Eltern in einem kleinen Haus, auf dessen Balkon sich gelegentlich während der Nacht die Eule von ihren Jagdausflügen ausruhte ... Und manchmal weckte sie die Hausbewohner mit ihren Schreien ...

Vor dem Haus hatte es ein Stück Brachland. Das brachte den kleinen Jungen auf die Idee, dort mit einer Schaufel zu graben, um eine Höhle zu bauen.

Und so schaufelte er, schuftete er und schwitzte – vom Morgen früh bis am Abend spät. Am Ende des Tages war dort bereits ein ansehnliches Loch zu sehen. Am nächsten Tag regnete es, was das Zeug hielt. Unter diesen Umständen konnte der kleine Junge natürlich nicht daran denken, weiterzuschaufeln. Und es regnete – und wenn es im Land der schwarzen Erde regnet, dann regnet es richtig, und die ganze Erde atmet auf, man kann fast zuhören, wie die Pflanzen spriessen.

Aber eines Morgens kehrte die Sonne zurück und erwärmte die Erde wieder.

Da ging der kleine Junge zu seinem Loch, um nachzusehen. Aber da war nicht mehr sein Loch – da war nun ein Loch, gefüllt mit Wasser, ein kleiner See, ein Teich. Und das Wasser blieb ...

Da wurde der kleine Junge sehr traurig, denn sein Traum von einer Höhle war nun ausgeträumt. Als er am nächsten Tag wieder von weitem nach seinem Loch Ausschau hielt, war es immer noch mit Wasser gefüllt. Aber etwas hatte sich verändert ... Man könnte auch sagen, etwas bewegte sich dort ...

Und tatsächlich: Zwei grasgrüne Frösche tummelten sich im Wasser. Unglaublich! Der kleine Junge war ausser sich vor Freude ... zwei wirkliche Frösche in einem echten Teich!

Solche Dinge passieren im Land der schwarzen Erde ...

dimanche 14 septembre 2008

Le début des débuts


Vraiment que le début

simon nyffeler - 13.09.2008 | 0 réactions |

Bon, j' ai finalement trouvé plus au moins comment fonctionne un "blog" et je veux commencer à en profiter. J' utilise beaucoup les histoires, comptes et métaphores dans ma vie privée et professionnelle. Un point fort dans ce blog sera certainement les histoires.

L’île