dimanche 31 mai 2009

Les ancrages

Les ancrages sont très utilisés en PNL. Stimulus interne ou externe qui est relié à un état interne ou un comportement (par l'intermédiaire d'un état interne).
A chaque fois que le stimulus se produit, il génère la même réaction.
Les ancrages sont des automatismes naturels, une odeur dans la rue va faire ressurgir des souvenirs de vacances, une musique vous rappellera un flirt de votre adolescence.

Aeschbacher

 

La nouvelle technologie est quand-même formidable: on peut regarder une émission de tv quand on veut. Il faut juste la télécharger en forme de podcast sur l’ipod.

Si je regarde la tv, à la maison, ensemble avec ma femme, c'est généraleimages ment en français. Grâce aux podcast je peux revoir les émissions an allemand un peu plus tard.

J'aime bien les émissions de Kurt Aeschbacher. Il est Bernois comme moi, je l'ai toujours suivi à travers des années dans ses émissions.

Quand j'ai fait l'école d'hypnose à Zürich et St. Gall, j'avais vu dans leur publicité que l'institut avait travaille avec une personne très connue - avec Kurt Aeschbacher. Il se faisait traiter pour la peur de l’altitude. Et sans que je le connaisse, Kurt Aeschbacher est toujours resté quelque chose comme un copain.

Dernièrement je partais en vacances et dans l’avion j’ai sorti mon ipod et j’ai commencé à regarder l’émission « Aescbacher ». Au bout de quelques minutes nous avons traversé un front d’orages ; même si je continuais à regarder l’émission de Kurt Aeschbacher, je commençais à me sentir très mal. L’avion montait, descendait abruptement et j’avais l’impression que mon estomac se trouvait dans la position de ma tête, je transpirais, j’avais des sueurs froides et l’avion continuait à faire des sauts s comme un âne piqué par une guêpe – et pendant tout ce temps je n’arrêtais pas à écouter et regarder l’émission d’Aeschbacher. Puis les orages étaient derrière nous et nous nous sommes déposés sans problèmes...

Par contre il y a quelque chose de bizarre qui m’arrive aujourd’hui : Dès que je commence à voir une émission de Kurt Aeschbacher, je commence à avoir l’impression que mon estomac se trouve dans la position de ma tête, je commence à transpirer et j’ais des sueurs froides…

 

Die Anker (Übersetzt von Martin Meier)

Anker werden in der NLP oft verwendet. Es handelt sich hierbei um interne oder externe Anregungen, die in Zusammenhang stehen mit einem inneren Zustand oder einem besonderen Benehmen (hervorgerufen durch einen inneren Zustand).

Jedesmal, wenn eine solche Anregung auftaucht, ruft sie die gleiche Reaktion hervor.

Anker sind demnach natürliche Automatismen; so kann ein Geruch auf der Strasse in einem die Erinnerung an die Ferien wach rufen, oder eine Melodie erinnert einen an eine Liebesbeziehung in der Jugend.

Aeschbacher

Die neuen Technologien sind trotz allen Einwänden, die gegen sie vorgebracht werden können, etwas Tolles; man kann sich eine Fernsehsendung anschauen, wann man will. Man muss sie nur als Podcast auf seinen I-Pod herunterladen.

Wenn ich zu Hause mit meiner Frau fernsehe, tue ich das normalerweise auf Französisch. Dank dem Podcast kann ich aber die gleiche Sendung etwas später auch auf Deutsch sehen.

Gerne schaue ich mir die Sendungen von Kurt Aeschbacher an. Er ist Berner, wie ich, und ich verfolge seine Sendungen seit Jahren.

Als ich die Schule für Hypnose in Zürich und St. Gallen besuchte, stellte ich auf Grund deren Werbebroschüren fest, dass dieses Institut mit einer sehr bekannten Persönlichkeit zusammenarbeitete – mit eben jenem Kurt Aeschbacher. Er liess sich damals gerade gegen Höhenangst behandeln. Und ohne dass ich ihn persönlich kenne, ist Kurt Aeschbacher für mich seither etwas wie ein guter Kamerad geblieben.

Letzthin verreiste ich in die Ferien und im Flugzeug zog ich meinen I-Pod hervor und begann, mir eine "Aeschbacher"-Sendung anzuschauen. Schon nach einigen Minuten flogen wir mitten durch eine Gewitterfront hindurch. Obwohl ich auch weiterhin meine "Aeschbacher"-Sendung schaute, wurde mir bald übel. Das Flugzeug stieg und sackte abrupt wieder in die Tiefe; ich hatte das Gefühl, mein Magen sei dort, wo eigentlich mein Kopf sein sollte, ich schwitzte, kalter Schweiss rann mir über den Rücken, und das Flugzeug produzierte weiterhin seine Luftsprünge wie ein von einer Wespe gestochener Esel – und während der ganzen Zeit schaute und hörte ich meine "Aeschbacher"-Sendung. Endlich lag das Gewitter hinter uns und wir konnten unsern Flug bis zur Landung ohne Probleme fortsetzen ...

Nun aber geschieht heute etwas Sonderbares: Jedesmal, wenn ich beginne, eine Sendung mit Kurt Aeschbacher zu sehen, habe ich das Gefühl, mein Magen sei dort, wo eigentlich mein Kopf sein sollte, ich fange an, zu schwitzen, und kalter Schweiss rinnt mir über den Rücken ...

mardi 19 mai 2009

Caius

Un collègue de moi raconte une histoire au sujet de la psychologie dans l'empire romain.

Caius est un jeun homme Romain. Sa famille est venue de Rome et ils se sont installés à Augusta Raurica. Caius travaille avec un groupe qui s'occupe des lampes à huile. De l’entretien des lampes publiques et aussi des lampes privées des citoyens riches. On s'occupe de la réparation et de la construction de nouvelles lampes.

Caius est très doué au niveau professionnel. Il est très sensible, très serviable mais... Il n'est pas content avec sa vie, avec lui-même, les autres humains. Il croit toujours qu'il doit prouver quelque chose, il n'écoute pas les autres, il veut avoir toujours raison, il est agressif. Il connaît ses défauts, mais ils n'arrivent pas à changer. Il décide d'aller voir le vieux mage sage.

Caius lui raconte ces problèmes. Il dit qu'il croit qu’il est possédé paimage r un démon. Le mage écoute très attentivement puis il dit :

« Nous les humains croyons toujours de connaître et savoir tout. Nous disons aujourd'hui que notre Terre est un disque -- mais est-ce ce que c'est vraiment vrai ? Caius, tu m'as me dit que tu ne sais pas écouter. En vrai tu es en train de m'écouter très attentivement. Tu sais très bien écouter -- fais-le avec les autres. Chaque individu peut apprendre quelles que choses des autres. Reviens dans 3 jours. »

Trois jours plus tard Caius revient chez le mage. Et le mage lui dit :

« Sois toi-même et aime toi comme tu es, fais confiance à ta personnalité. Tu es humain, donc tu n'es pas parfait. Tu as le droit de commettre des erreurs. »

Encore trois jours ont passé. Et le mage dit :

« Aujourd'hui c'est la dernière fois que tu es venu chez moi, Caius, accompagne-moi. »

Cahier accompagne le mage. Il descendent un escalier vers le bas. Une marche après l'autre. Et ils arrivent dans un petit local. Il y a une sorte de chaise, des bougies, et un letus (un lit Romain).

« Couche-toi sur le letus, » puis le mage murmure des petites phrases et Caius se sente tellement détendu, bien, ferme les yeux et le mage parle :

« Caius, je vais m'adresser maintenant à la partie qui est responsable de ton comportement. Je sais que ce comportement a fait un sens dans le temps. Mais pas aujourd'hui ce comportement n’est plus adapté. Et ce que tu peux explorer et chercher des comportements alternatifs ?

Silence.

Après un moment le mage rigole et dit :

« Bien. Est-ce que tu pourras appliquer ces nouveaux comportements dans le futur ? Bien, merci. Est-ce que tu comprends que pour Caius ces comportements seront bien ? Merci. Je vais te quitter maintenant. »

Caius ouvre les yeux et il remonte ensemble avec le mage l'escalier. Celui-ci dit :

« Au revoir, Caius, c'était la dernière fois. Tu es bien maintenant. »

Et effectivement la vie de Caius a basculé. Devenu très calme et serein il est chef de groupe, il a trouvé une belle femme et les gens parlent de lui avec beaucoup d'estime.

« Merci, cher collègue », dis-je « incroyables, déjà dans l'empire Romaine les gens utilisaient l'hypnose. »

Caius (Übersetzt von Martin Meier)

Einer meiner Kollegen erzählt eine Geschichte über Psychologie im Römischen Reich.

Gaius ist ein junger Römer. Seine Familie ist von Rom gekommen und hat sich in Augusta Raurica niedergelassen. Gaius arbeitet in einem Unternehmen, das sich mit Öllampen beschäftigt. Dort werden Lampen für den öffentlichen Gebrauch und Privatlampen für reiche Bürger hergestellt, es werden Lampen repariert und neue Lampenmodelle kreiert.

Gaius ist sehr begabt und arbeitet sehr professionell. Er ist sehr feinfühlig und dienstbeflissen, aber ... Er ist nicht zufrieden mit seinem Leben, mit sich selbst, mit den andern Menschen. Immer hat er das Gefühl, sich etwas beweisen zu müssen. Auf die andern hört er nicht, er will immer Recht haben, ja manchmal kann er ganz aggressiv werden. Er weiss um seine Fehler, aber es gelingt ihm nicht, sich zu ändern. So beschliesst er, den alten weisen Magier aufzusuchen.

Gaius erzählt ihm von seinen Problemen. Er sagt ihm, er habe das Gefühl, von einem Dämon besessen zu sein. Der Magier hört aufmerksam zu, dann sagt er:

« Wir Menschen glauben immer, alles zu kennen und zu wissen. Wir sagen heute, dass die Erde eine Scheibe sei[1] - aber stimmt das wirklich? Gaius, du hast mir gesagt, dass du nicht zuhören kannst. Aber jetzt gerade, jetzt hörst du mir sehr aufmerksam zu. Du verstehst es sehr gut, zuzuhören – mach das auch so bei den andern. Jeder Mensch kann von den andern etwas lernen. Komm in drei Tagen wieder. »

Drei Tage später kommt Gaius wieder zum Magier. Dieser sagt zu ihm:

« Sei du selbst und liebe dich so, wie du bist, hab Vertrauen in deine Persönlichkeit. Du bist ein Mensch, also bist du nicht vollkommen. Du hast ein Recht, Fehler zu machen. »

Wieder vergehen drei Tage. Der Magier sagt:

« Heute kommst du zum letzten Mal zu mir, Gaius. Komm mit! »

Gaius geht mit dem Magier. Sie steigen eine Treppe hinab, schön langsam eine Stufe nach der andern. Dann kommen sie in einen kleinen Raum. Dort gibt es eine Art Stuhl, Kerzen und einen lectus, ein römisches Bett.

« Leg dich auf den lectus », sagt der Magier, dann murmelt er kurze Sätze, und Gaius fühlt sich so entspannt und wohl, dass er die Augen schliesst. Da sagt der Magier:

« Gaius, ich wende mich nun an den Teil deines Inneren, der für dein Benehmen verantwortlich ist. Ich weiss, dass dieses Benehmen bisher seinen Sinn hatte. Aber heute ist dieses Benehmen nicht mehr angebracht. Kannst du nicht ein anderes Benehmen suchen und finden? »

Stille.

Nach einer kurzen Weile beginnt der Magier zu lachen und sagt:

« Gut. Kannst du dieses neue Benehmen in Zukunft auch anwenden? Gut, danke. Verstehst du, dass dieses Benehmen für Gaius gut ist? Danke. Ich verlasse dich nun. »

Gaius öffnet die Augen wieder und steigt zusammen mit dem Magier die Treppe hoch. Der Magier sagt:

« Auf Wiedersehn, Gaius, das wars denn! Dir geht es nun gut. »

Und in der Tat verändert sich nun Gaius’ Leben. Er wird ruhig und zufrieden und wird zum Chef des Unternehmens ernannt, er findet eine schöne Frau, und die Leute sprechen von ihm nur mit Hochachtung.

« Danke, lieber Kollege », sagte ich. « Unglaublich! Schon im Römischen Reich kannte man die Hypnose. »


[1] Anmerkung des Übersetzers : In der Antike war die Kugelgestalt der Erde weitgehend bekannt. Griechische Wissenschaftler vermochten sogar den ungefähren Erdumfang auszurechnen.

dimanche 3 mai 2009

La valise – der Koffer

La dernière fois que j’étais en vacances j’ai décidé de changer nos valises. Les anciennes ne se laissaient presque plus fermer et les roues étaient tellement abimées qu’on ne pouvait plus les utiliser : A tout moment il fallait donc porter les valises.

J’ai trouvé une très bonne occasion et j’ai acheté deux valise de voyage très modernes : Un en rouge,IMG_0259 l’autre en bleue. Des couleurs très vives. Puis elles possèdent un système de sécurité très performant : Un genre de serrure de coffre fort avec un code individuel qu’on peut introduire.

J’ai introduit le code à la valise rouge – sans problèmes. Ça marche. Puis je voulais faire la même chose avec la valise bleue. Ça coinçait un peu, j’ai annulé la combinaison des chiffres mais soudain la valise restait fermée – avec un code de n’importe quoi. C’étai fini. Plus de moyen de l’ouvrir.

Et j’étais très triste. Je me suis dit qu’avec un système de sécurité tellement sophistiqué ma valise était prête pour la poubelle. Quand même j’ai téléphoné au magasin ou je les avais achetés et on me disait que je pouvais passer et qu’on pouvait l’ouvrir.

J’arrive dans le magasin avec ma valise – et un employé faisait quelques petites manipulation en quelques secondes, et la valise était de nouveau ouverte. Incroyable. J’étais très heureux, je pourrai utilise r ma valise pour mes prochaines vacances.

Seulement un peu plus tard je me posais la question si cette serrure était vraiment aussi sur que ça….

Der Koffer (Übersetzt von Martin Meier)

Das letzte Mal, als ich in den Ferien war, hatte ich Idee, neue Koffer zu kaufen. Die alten brachte man kaum mehr zu, und ihre Räder waren dermassen abgeschliffen, dass man sie kaum noch benutzen konnte. Auf jeden Fall musste man die Koffer tragen.

Ich hatte Glück mit einem vorteilhaften Gelegenheitskauf und konnte zwei ganz moderne Koffer erstehen, einen roten und einen blauen (Anmerkung des Übersetzers: Honny soit, qui mal y pense!). Sehr lebhafte Farben also. Ausserdem besassen die beiden Koffer einen sehr patenten Sicherheitsmechanismus, eine Art starkes Kofferschloss mit einem individuellen Code, den man eingeben musste.

Nun denn, ich habe den Code beim roten Koffer eingegeben – kein Problem! Das klappte wie am Schnürchen. Dann wollte ich dasselbe beim blauen Koffer machen. Hier klemmte es nun allerdings ein wenig. Als ich dann den Code ändern wollte und dafür die vorgegenen Ziffern annullierte, blieb der Koffer auf einmal geschlossen mit einem mir unbekannten Code. Ich hatte keine Möglichkeit mehr, den Koffer zu öffnen, und stand da wie der Esel am Berg.

Ich hätte heulen können! Ich sagte mir, mit einem solch ausgeklügelten Schliessmachanismus sei mein Koffer reif für den Abfallkübel. Trotzdem rief ich im Geschäft an, wo ich die Koffer gekauft hatte, und man sagte mir, ich solle rasch vorbeikommen, man werde mir den Koffer schon öffnen.

Ich ging hin, ein Angestellter werkelte ein paar Sekunden am Koffer herum, zwei, drei Handgriffe, und schon war mein Koffer wieder offen. Unglaublich! Ich war glücklich, denn nun konnte ich meinen Koffer ja doch für die nächsten Ferien benutzen.

Allerdings stellte ich mir kurz darauf die Frage, ob ein solches Schloss wirklich so sicher sei …