jeudi 29 janvier 2009

Les sous-modalités

PNL: Toutes informations qui nous parviennent du monde extérieur sont codés par notre cerveau à travers nos cinq sens. Toutes nos expériences, qu' elles soient conscientes ou inconscientes, mémorisés ou construites sont analysées en terme de représentations sensorielles.

La forêtIMG_0164 (2)

Et le petit Jean entre dans la forêt. Il fait nuit et les corbeaux annonce l’arrivée d’un être humain avec leurs cris. Jean est dans la forêt et il ne voit presque rien ; par contre il entend des petits et de grands bruits. Il marche sur les feuilles mortes et dans la  nuit un petit bruissement d’une souris fait l’effet d’un bruit d’un monstre serpent en train d’attaquer. Terrible ! Dans le noir Jean se sent tellement menacé par des créatures de la nuit. L y a un brouillard fantomatique et de chaque coin dans la forêt il faut s’attendre d’une attaque d’un animal déchaîné. Et l’origine des odeurs est très difficile à déterminer : Est-ce que ça ne sent pas l’énorme sanglier en train de charger ? Jean tremble et essaie de rester immobile. Décidément la forêt est un endroit IMG_0164très malsain et dangereux !

Et le soleil se lève. L es derniers brouillards s’en vont et les oiseaux commencent à chanter. Jean peut tout distinguer et admirer. Le feuillage vert des arbres, les rayons de soleil, les oiseaux, les papillons et d’autres insectes. Peut être même un chevreuil, une bande de jeunes renards ou un écureuil. Tout est tellement paisible et magnifique dans la forêt ! Décidément la forêt est un endroit magnifique et paisible !

 

Die Sou-Modalitäten (Übersetzt von Martin Meier)

NLP: Alle Informationen, die von der Aussenwelt an uns herangetragen werden, werden durch unser Hirn gespeichert und kodiert mittels unserer fünf Sinne. Alle unsere Erfahrungen, seien sie bewusst oder unbewusst, im Gedächtnis behalten oder konstruiert, werden durch sinnliche Ausdrucksweisen analysiert.

Der Wald

Und der kleine Hans begibt sich in den Wald. Es ist Nacht, und die Raben melden mit ihrem Krächzen, dass ein Mensch im Anmarsch ist. Hans ist nun im Wald und sieht kaum die Hand vor den Augen, so stockfinster ist es. Umso mehr hört er überall laute und leise Geräusche. Er geht über tote Blätter, und in der Nacht tönt das leiseste Rascheln einer Maus wie das Zischen einer Riesenschlange, die sich auf ihr Opfer stürzt. Furchtbar! In der Dunkelheit fühlt sich Hans von allen möglichen Nachtwesen bedroht. Ein gespenstischer Nebel umgibt ihn, und es scheint ihm als müsse er aus jedem Winkel den Angriff eines wilden Tieres erwarten. Auch die Herkunft der Gerüche kann er nicht genau bestimmen: Riecht es da nicht nach einem mächtigen Eber, der zum Angriff bereit ist?

Hans zittert und versucht, sich nicht zu bewegen. Ohne Zweifel ist der Wald ein unheimlicher und gefährlicher Aufenthaltsort! Doch dann geht die Sonne auf. Die letzten Nebelfetzen verflüchtigen sich und die Vögel fangen an, zu singen. Hans kann jetzt alles gut wahrnehmen und damit auch bewundern: das grüne Blätterwerk der Bäume, die Sonnenstrahlen, die Vögel, die Schmetterlinge und die übrigen Insekten. Vielleicht sogar ein Reh, eine Schar junger Füchse oder ein Eichhörnchen. Alles ist so friedlich und wunderschön im Wald! Ohne Zweifel ist der Wald ein wunderschöner und friedlicher Aufenthaltsort!

mardi 20 janvier 2009

Référence externe - référence interne

Selon un métaprogramme de la PNL....

Germaine, la Pintade

La ferme d'Hans dans l'Emmental est pleine de vie ! On ne s’ennuie jamais. Le vaches meuglent parce qu’elles ont l’impression de ne pas avoir assez à manger, les cochons grognent sans savoir pourquoi, les poules caquettent entrent eux pour exprimer leur mécontentement avec le coq, le chat miaule. Il y a tellement des animaux : Il y a aussi un chevalhuehnernahedsc00026 , des oies, des lapins, canards, souris, pigeons, poules etc. et - Germaine, une pintade fait aussi partie.

Germaine est une pintade très musicale et très sensible et elle adore écouter le chant merveilleux du merle ; surtout ces doux soirs de printemps, quand le soleil est juste en train de se coucher en colorant le ciel d’un rouge très romantique. Et Germaine est enthousiasmée et émerveillée par ces chants magnifiques. Et ces mélodies n’arrêtent pas à lui procurer tellement de plaisir et de sensations agréables que finalement elle décide de prendre des leçons de chant.

Elle trouve un professeur en personne de l'alouette de champ qui est d’accord de travailler avec elle. Et elle commence à apprendre, à réviser, à faire les gammes – jour et nuit - et elle souffre, au bout d’un moment elle a peur de perdre la voix et plusieurs fois elle joue avec l'idée d’abandonner, parce que c’est tellement dur - mais elle tient le coup. Et après plusieurs mois Germaine a, selon elle, atteint un certain niveau de chant et elle décide de donner un concert. Et elle invite tous les animaux.

Et ils viennent tous : Les vaches, les cochons, les chèvres, le chat, les souris, les canards, les oies - tout le monde. Et Germaine commence à chanter. Et elle chante – comme une pintade. Le début, le public applaudis poliment mais au bout de quelques moments les animaux commencent à s’impatienter parce que Germaine ne donne pas signes de vouloir s’arrêter. Et certains animaux commencent à parler, à chouchouter et les pigeons disent "C’est grotesque!" et partent. Et les autres animaux, plus au moins discrètement, partent aussi. Et Germaine continue à chanter. Elle n’arrête pas, même pas quand tous les animaux sont partis – tous sauf la meilleure copine de Germaine: la caille Rosemarie.

Et Rosemarie demande à Germaine, qui chante toujours : "Pourquoi tu chantes? Tu es ridicule! Tout le monde se moque de toi !" Puis, Germaine la pintade, entre deux gammes très difficiles, réplique: "Je chante parce que j'aime chanter et parce que ça me fait plaisir! Je chante pour moi!"

 

Äussere und innere Referenz (Übersetzt von Martin Meier)

Nach einem Metaprogramm der NLP …

Germaine, das Perlhuhn

Auf dem Bauernhof von Hans im Emmental ist immer etwas los. Langweilig wird es einem dort nie. Die Kühe muhen, weil sie meinen, nicht genug Futter zu bekommen, die Schweine grunzen, ohne zu wissen, weshalb, die Hühner gackern unter sich, um auszudrücken, dass sie mit dem Hahn nicht zufrieden sind, die Katze miaut. Es gibt dort so viele Tiere: Auch ein Pferd ist da, Gänse, Kaninchen, Enten, Mäuse, Tauben, Hühner, usw. und – Germaine, ein Perlhuhn, ist auch mit von der Partie.

Germaine ist ein sehr musikalisches Perlhuhn, ist sehr sensibel und liebt es, dem herrlichen Gesang der Amsel zuzuhören, besonders an jenen milden Frühlingsabenden, wenn die Sonne am Untergehen ist und dabei den Himmel in ein ganz romantisches Rot taucht. Dann ist Germaine völlig hingerissen und entzückt über diesen herrlichen Gesang. Aber diese Melodien verschaffen ihr nicht nur ein himmlisches Vergnügen und eine angenehme Entspannung, nein, eines Tages fasst sie den Entschluss, selbst Gesangsstunden zu nehmen.

Sie findet in der Feldlerche eine geeignete Lehrerin, die bereit ist, mit ihr zu arbeiten. Und sie beginnt, zu lernen, zu üben, die Tonarten zu studieren – Tag und Nacht – und sie leidet, einen Moment lang hat sie Angst, ihre Stimme zu verlieren, ein paar Mal spielt sie mit dem Gedanken, den Bettel hinzuschmeissen, weil das Ganze zu hart ist, aber sie hält durch. Und nach mehreren Monaten hat Germaine, wie sie denkt, ein gewisses Gesangsniveau erreicht und beschliesst, ein Konzert zu geben. Sie lädt alle Tiere dazu ein.

Und sie kommen alle: Die Kühe, die Schweine, die Ziegen, die Katze, die Mäuse, die Enten, die Gänse – einfach alles, was da kreucht und fleucht! Und Germaine fängt an, zu singen. Und sie singt – wie ein Perlhuhn. Zu Beginn applaudiert das Publikum höflich, aber dann werden die Tiere ungeduldig, weil Germaine keine Anstalten trifft, aufzuhören. Schon beginnen einige Tiere zu schwatzen und zu murmeln, und die Tauben sagen: "Das ist ja lächerlich!" und verschwinden. Da verschwinden auch die übrigen Tiere, mehr oder weniger diskret. Doch Germaine singt weiter. Sie hört nicht auf, selbst dann nicht, als kein Tier mehr zuhört – keines ausser ihrer besten Freundin, der Wachtel Rosemarie.

Und Rosemarie fragt Germaine, die immer noch singt: "Warum singst du? Du bist lächerlich! Alle spotten über dich!" Darauf antwortet Germaine, das Perlhuhn, beim Wechsel zwischen zwei sehr schwierigen Tonarten: "Ich singe, weil es mir Spass macht, weil ich gerne singe. Ich singe für mich!"

dimanche 4 janvier 2009

L‘écologie

 

En PNL on se demande, si une communication est écologique. Une bonne communication est bonne, si le résultat est bon. Et une communication écologique est une bonne communication.

 

Serge

Il y a bien longtemps, le petit Simon s’est réveillé et quand il est allé aux toilettes il a passé devant le salon et il a vu un homme inconnu assis sur un des fauteuils.

Le père de Simon, entre autres, travaillait en tant que tuteur, et Serge fait égalemmarmotte et castor ent partie de ses clients. Et c'est justement cette nuit, une fois de plus, que Serge a eu une bagarre et a été fortement blessé ; il a eu des douleurs, soif pas un sous et il a appelé le père de Simon. Celui-ci est allé le chercher et l'a amené à la maison, où Serge a pu dormir dans la chambre d’invités.

Et ainsi il a fait connaissance avec le petit Simon: La main intégrée, des blessures impressionnantes sur le visage, des traces de désinfectant orange .... Et comme Serge avait vu le petit Simon, il s’est levé et on a pu noter, qu'il boitait. En dépit de son aspect aventureux, Serge était très gentil et il a même demandé au petit Simon s’il voulait voir un livre avec lui. Et le petit Simon, un fan des animaux, a apporté un de ses nombreux livres sur les animaux. Et dans le salon chaud, les deux ont commencé à le regarder. Et de façon aléatoire, les deux sont tombés sur le chapitre avec les castors.

Et il a beaucoup d'images avec des castors, des grands, des petits et Serge a voulu jouer son rôle en tant qu’adulte et il a commencé à expliquer: - vois-tu, Simon, ce sont des marmottes. La vie dans les familles des marmottes est presque comme chez nous.

Et le petit Simon avait un drôle de sensation dans le ventre : - Marmottes ? Ce ne sont cependant pas des marmottes, ce sont des castors !

Et le petit Simon avait terriblement envie de corriger Serge. Mais quelque chose l'a retenu et il a comprit que ce n'est pas si important si Serge connaissait la différence entre une marmotte et d'un castor. Et i8l a même dit : -Ils sont vraiment très marrantes ces marmottes !

Die Ökologie (Übersetzt von Martin Meier)

In der NLP stellt man sich immer die Frage, ob eine Kommunikation ökologisch sei. Eine gute Kommunikation ist dann gut, wenn das Ergebnis gut ist. Und eine ökologische Kommunikation ist eine gute Kommunikation.

Serge

Es ist nun schon eine gute Weile her, da erwachte der kleine Simon eines Morgens, und als er zur Toilette ging und am dem Wohnzimmer vorbeischlenderte, sah er einen unbekannten Mann, der auf einem der Lehnstühle dort sass.

Simons Vater arbeitete damals unter anderem als Vormund, und Serge – eben dieser unbekannte Mann – war eines seiner Mündel. Und eben in dieser Nacht war es, einmal mehr, geschehen, dass Serge einen Unfall hatte und ziemlich schwer verletzt wurde. Er hatte starke Schmerzen und Durst, aber keinen Groschen in der Tasche. So rief er Simons Vater an. Der ging ihn abholen und nahm ihn nach Hause, wo Serge im Gästezimmer schlafen konnte.

So lernte er den kleinen Simon kennen: die Hand verbunden, auffällige Verletzungen im Gesicht und orange Spuren von Desinfektionsmittel ... Und als Serge den kleinen Simon sah, stand er auf und man konnte feststellen, dass er hinkte. Abgesehen von seinem abenteuerlichen Aussehen war Serge sehr nett und fragte den kleinen simon gleich, ob er ein Buch mit ihm anschauen wolle. Und der kleine Simon, der Tiere über alles liebte, schleppte eines der zahlreichen Tierbücher an. Im warmen Wohnzimmer begannen die beiden, es anzuschauen. Und, wie der Zufall es wollte, gerieten sie ans Kapitel über die Biber. Es hatte dort viele Bilder mit Bibern, grossen und kleinen, und Serge wollte seine Rolle als Erwachsener spielen und begann zu erklären: "Siehst du, Simon, das sind Murmeltiere. Das Leben in einer Murmeltierfamilie ist ähnlich wie bei uns."

Der kleine Simon hatte ein merkwürdiges Gefühl in der Magengrube: 'Murmeltiere? Das sind doch keine Murmeltiere, das sind doch Biber!'

Er hatte eine wahnsinnige Lust, Serge zu korrigieren. Aber etwas hielt ihn zurück und er begriff, dass es nicht so wichtig sei, ob Serge den Unterschied zwischen einem Murmeltier und einem Biber kenne. So sagte er nur: "Die sind wirklich zum Totlachen, diese Murmeltiere!"